Thursday, October 30, 2008
Chapitre Sept
Il y a que deux pages et demi dans ce chapitre donc il y a des grands choses à dire. Le chevalier a admis qu’il avait tort de pousser Samba d’aller en France et il a dit quelques choses très profondes philosophiquement aussi ; « Tu crains que Dieu ne t’ait abandonné, parce que tu ne le sens plus avec autant de plénitude que dans le passé et, comme il l’a promis à ses fidèles, « plus proche que l’artère carotide », Ainsi, tu n’es pas loin de considérer qu’il t’a trahi. » Ses mots sont assez précis. Il a dit aussi que c’est seulement Samba qui peut lui sauver. « Ton salut, la présence en toi de Dieu vivant dépendent de toi. » Ce n’est pas Dieu qui va nous sauver, c’est nous-mêmes.
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