On voit, dans ce chapitre, la pression sur Samba. Le maître est sur le point de mourir et il s'attend à ce que Samba devienne le nouveau chef de Diallobé. « …oui Samba Diallo aussi aura vécu, spirituellement. Pauvre enfant, qui eût dû naitre contemporain de ses ancêtres. Je crois qu’il en eût été le guide. »
Le maitre est très critique de lui. Il parle beaucoup de sa famille et qu’elle lui attend pour nourrir mais en fait, il parlait de lui-même.
« Cette famille dépourvue de nourriture et certaine de manger, c’est la tienne qui attend que tu la nourrisses. Cet homme qu’agresse le souvenir de sa mort, c’est toi – qui l’écartes et te lèves. Tu crois en Dieu, tu te précipites et pries…De qui ai-je parlé ? – De moi, maitre, dit le forgeron atterré. – Non, dit le maitre, c’est de moi. » Et « J’ai, depuis longtemps, senti que j’étais le seul obstacle au bonheur de ce pays. »
Cela me rappelle de hommes politiques et les chefs du monde. À mon avis, les meilleurs gens d’être des leaders dans des pays et de pays sont les gens qui ne veulent pas le faire parce qu’ils ne veulent pas de gloire ou la richesse. C’est un dommage, que la plupart de chefs de pays sont les chefs seulement parce qu’ils veulent avoir la pouvoir.
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