On voit beaucoup de références du conflit et de la religion ici. Samba a dit « La Parole doit continuer de retentir en lui, se dit-il. Il est de ceux qui ne cessent pas de prier, pour avoir refermé leur livre de prières…. Mon père ne vit pas, il prie… » mais il pense la prière et la vie en termes d’opposition. C'est-à-dire que si on prie, on ne peut pas faire aucune autre chose. Le chevalier contredit cet idée plus tard quand il dit « Si un homme croit en Dieu, le temps qu’il prend à sa prière pour travailler est encore prière. C’est même une très belle prière. » Je suis d'accord avec le chevalier parce que je crois que si on croit à Dieu, ce n'est pas assez juste de prier. Il est nécessaire de suivre l'exemple de Dieu dans toute la vie.
Il y a beaucoup d'écho de vie d'aujourd'hui dans ce chapitre et je pense que le narrateur critique le monde capitaliste d'aujourd'hui quand il dit « Mais on peut travailler aussi par avidité ; dans ce cas, on ne cherche pas seulement à obstruer le trou du besoin ; il est déjà pleinement comblé. On ne cherche pas même à devancer la prochaine échéance de ce besoin. On accumule frénétiquement, on croit qu’en multipliant la richesse on multiplie la vie. » Cela représente vraiment les croyances de gens aujourd’hui, surtout en Irlande et dans le monde développé en générale. On travaille de plus on plus et Dieu deviens de moins en moins important.
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