Thursday, October 30, 2008

et finalement chapitre dix!

Comme d’habitude, Kane se réfère en arrière à beaucoup de références dans des chapitres précédents. Il parle de « deux voix simultanées ». En conséquence, ce chapitre final donne l’impression que Kane réconcilie toutes ses idées dans un paquet.

Samba parle avec Dieu mais il n’entend rien, que un écho en soi qui parle quand Dieu n’as pas fini de parler. Cela montre que Dieu n’est pas quelque chose définitif. Il signifie des choses différentes aux gens différents, touts qui ont des croyances différentes.

Chapitre Neuf

En fait, ce chapitre a changé beaucoup dans le livre. D’âpres le fou, Samba n’a plus de chair, il n’a plus d’yeux ouverts dans l’ombre. Samba a fait référence du ange de la mort et qu’il a « fendu la terre en dessous, pour venir [se] chercher. » La phrase la plus importante je crois est « Peut-être, âpres tout. Contraindre Dieu… Lui donner le choix, entre son retour dans votre cœur, ou votre mort, au nom de Sa gloire. » Cela je trouve très difficile de réconcilier avec des croyances Occidentales parce que nos morts ne sont pas pour la gloire de Dieu. Samba a refus de prier et le fou l’a tué.

Chapitre Huit

Samba deviens le maitre des pays de Diallobé. Le fou a tué le maitre mais personne n’a essayé de lui intervenir et je ne le comprends pas. Il n’est pas allé à l’enterrement mais il a reparu le lendemain et il a nié que le maitre était mort. Ce chapitre est vraiment bizarre !

Chapitre Sept

Il y a que deux pages et demi dans ce chapitre donc il y a des grands choses à dire. Le chevalier a admis qu’il avait tort de pousser Samba d’aller en France et il a dit quelques choses très profondes philosophiquement aussi ; « Tu crains que Dieu ne t’ait abandonné, parce que tu ne le sens plus avec autant de plénitude que dans le passé et, comme il l’a promis à ses fidèles, « plus proche que l’artère carotide », Ainsi, tu n’es pas loin de considérer qu’il t’a trahi. » Ses mots sont assez précis. Il a dit aussi que c’est seulement Samba qui peut lui sauver. « Ton salut, la présence en toi de Dieu vivant dépendent de toi. » Ce n’est pas Dieu qui va nous sauver, c’est nous-mêmes.

Chapitre Six

La façon que Kane utilise le dialogue, des fois dans des citations mais des fois avec un tiret est franchement ennuyeux dans ce chapitre. Il devrait utiliser un ou l'autre. Sinon, il me confond.

Quand Adèle a dit « je les hais » je ne sais pas si elle hait sa famille ou les colonisateurs mais je crois que c’est plus les colonisateurs. J’aime bien la image des lettres de Samba ; « Des que je sus écrire, je me mis à inonder mon père de lettres que je lui écrivais et lui remettais en main propre, afin d’éprouver mon savoir nouveau, et de vérifier, le regard fixé sur son visage pendant qu’il lisait, qu’avec mon nouvel outil, je pouvais lui transmettre ma pensée sans ouvrir la bouche ». C’est mignon mais c’est un peu triste quand même parce que ils ont conquis les pays des Diallobé avec leur alphabet et les lettres comme cela.

Elle veut apprendre à comprendre le cœur du monde de nouveau mais Samba ne sait pas si on ne retrouve jamais ce chemin, quand on l’a perdu.

Chapitre Cinq

Pour moi, il y a une phrase en particulier qui a des échos dans le monde capitaliste d'aujourd'hui. C’est quand Samba a dit «Nos ancêtres étaient plus vivants…ils avaient des richesses que nous perdons chaque jour un peu plus. Ils avaient Dieu. Ils avaient la famille qui n’était qu’un seul être. Ils possédaient intimement le monde. Tout cela, nous le perdons petit à petit, dans le désespoir. » A mon avis, il a totalement raison. Nous avons de plus en plus d’argent mais nous sommes de moins en moins heureux. Il sent vide, malgré tous les gens autours le lui. « Je ne sais si vous avez ressenti parfois cette impression poignante de vacuité que donnent les rues de cette ville – par ailleurs si bruyante cependant. Il y a comme une grande absence, on ne sait de quoi. » Il a l’impression que plus rien ne se touche. Dans les pays des Diallobé, l’homme était plus proche de la mort. Le monde n’était pas silencieux et neutre. « Il vivait. Il était agressif. Il diluait autour de lui. »

Le capitaine Hubert l’a répondu « Tout ceci me parait trop… comment dire… trop hors de la réalité » parce qu’il explique que la France a besoin d’eux et qu’ils sont a leur disposition. C'est clairement le raisonnement du colonisateur et je le trouve un peu déplaisant. Ils sont le peuple du pays à eux et ils ne devraient pas être à quiconque disposition.

Chapitre Quatre

Lucienne défie les croyances de la Samba en ce chapitre. Elle a lui demandé beaucoup de questions, par exemple, « Si on te proposait –si un médecin psychanalyste par exemple te proposait – de guérir ton peuple de cette partie de lui-même qui l’alourdit, l’accepterais-tu ? » Pour elle, sa foi ressemble une maladie. Il a répondu plus tard « Je te le disais bien ! et aucun prêtre ou médecin n’a rien pu à ce tourment. » et il continue en addition à disent qu’il préfère Dieu à sa mère. Je le trouve vraiment incroyable. Je crois en Dieu mais je ne dirais jamais que je préfère Dieu à ma mère !

Malgré leurs différences, Lucienne et Samba ne sont pas totalement différents. Elle est un membre du partie communiste et elle combat pour le communisme mais Samba ne combats pas pour la liberté mais pour Dieu.

Chapitre Trois

J'ai constaté que ce chapitre était très bizarre. La conversation entre Samba et le vielle homme s’est passé pendant quelques heures. L'auteur dépense pas mal de temps décrivant cet homme que j'ai l'impression qu'il est important pour l'histoire de Samba. Je suis un peu soupçonneux aux intentions de cet homme surtout quand il a dit « J’aimerais vous avoir chez moi, un de ces jours » parce qu’on ne parle pas aux étrangers aléatoires de nos jours. Peut-être la raison de cela est parce que les gens dans le monde occidental ont devenu beaucoup plus méfiants a l’égard du tout le monde. On va voir !

Thursday, October 23, 2008

Chapitre Deux

On voit, dans ce chapitre, la pression sur Samba. Le maître est sur le point de mourir et il s'attend à ce que Samba devienne le nouveau chef de Diallobé. « …oui Samba Diallo aussi aura vécu, spirituellement. Pauvre enfant, qui eût dû naitre contemporain de ses ancêtres. Je crois qu’il en eût été le guide. »

Le maitre est très critique de lui. Il parle beaucoup de sa famille et qu’elle lui attend pour nourrir mais en fait, il parlait de lui-même.

« Cette famille dépourvue de nourriture et certaine de manger, c’est la tienne qui attend que tu la nourrisses. Cet homme qu’agresse le souvenir de sa mort, c’est toi – qui l’écartes et te lèves. Tu crois en Dieu, tu te précipites et pries…De qui ai-je parlé ? – De moi, maitre, dit le forgeron atterré. – Non, dit le maitre, c’est de moi. » Et « J’ai, depuis longtemps, senti que j’étais le seul obstacle au bonheur de ce pays. »

Cela me rappelle de hommes politiques et les chefs du monde. À mon avis, les meilleurs gens d’être des leaders dans des pays et de pays sont les gens qui ne veulent pas le faire parce qu’ils ne veulent pas de gloire ou la richesse. C’est un dommage, que la plupart de chefs de pays sont les chefs seulement parce qu’ils veulent avoir la pouvoir.

Sunday, October 19, 2008

Deuxième Partie - Chapitre Premier

Samba arrive en France et est accueilli par la famille Martial, où il semble qu'il restera pour son séjour en France. Ils sont très sympathiques vers Samba. « Lucienne et moi voulons que vous vous sentiez tout à fait à l’aise ici, comme chez vous. » De la toute première réunion, le pasteur rappelle à Samba du maître de Diallobé. Il est un peu trop brusque et sévère. « Ajoutez donc que vous ne répondez ainsi que par politesse… » « Derrière les verres correcteurs, le visage de l’homme pétillait de malice. »

Il est clair que c'est un grand choc culturel pour Samba. « Samba Diallo était atterré. Il ne comptait plus les occasions, depuis son arrivée en France, où le refus d’un verre offert avait soudain failli gâcher absurdement les fragiles moments de ses premiers contacts avec les gens. »

Samba est sage au-delà de ses années. Il dit le phrase très important « Ce n’est pas le mystère qui a changé, mais les questions qui lui sont posées et les révélations qu’on en attend. » Il y a beaucoup de exemples de cela dans le monde aujourd’hui, par exemple le conflit dans le nord d’Irlande. Les catholiques et les protestants croient dans le même Dieu et je crois qu'il est totalement absurde de battre sur des raisons religieuses. Le pasteur accepte l’idée de Samba ; « Cramponnez-vous ferme à votre opinion… » Mais plus tard il y a du conflit, premièrement quand Lucienne a demandé si il croit vraiment qu’il était plus urgent de envoyer des pasteurs que des médecins et Samba a répondu « Oui, si tu me proposes ainsi le choix entre la foi et la santé du corps… » Et deuxièmement, au fin, quand Lucienne a dit « Ta cause est défendable, peut-être ; le malheur est que ceux qui la défendent n’ont pas toujours votre pureté à papa et à toi. Ils se parent de cette cause, pour couvrir des desseins rétrogrades. »

Saturday, October 18, 2008

Chapitre Neuf

On voit beaucoup de références du conflit et de la religion ici. Samba a dit « La Parole doit continuer de retentir en lui, se dit-il. Il est de ceux qui ne cessent pas de prier, pour avoir refermé leur livre de prières…. Mon père ne vit pas, il prie… » mais il pense la prière et la vie en termes d’opposition. C'est-à-dire que si on prie, on ne peut pas faire aucune autre chose. Le chevalier contredit cet idée plus tard quand il dit « Si un homme croit en Dieu, le temps qu’il prend à sa prière pour travailler est encore prière. C’est même une très belle prière. » Je suis d'accord avec le chevalier parce que je crois que si on croit à Dieu, ce n'est pas assez juste de prier. Il est nécessaire de suivre l'exemple de Dieu dans toute la vie.

Il y a beaucoup d'écho de vie d'aujourd'hui dans ce chapitre et je pense que le narrateur critique le monde capitaliste d'aujourd'hui quand il dit « Mais on peut travailler aussi par avidité ; dans ce cas, on ne cherche pas seulement à obstruer le trou du besoin ; il est déjà pleinement comblé. On ne cherche pas même à devancer la prochaine échéance de ce besoin. On accumule frénétiquement, on croit qu’en multipliant la richesse on multiplie la vie. » Cela représente vraiment les croyances de gens aujourd’hui, surtout en Irlande et dans le monde développé en générale. On travaille de plus on plus et Dieu deviens de moins en moins important.

Friday, October 17, 2008

Chapitre Huit

Nous voyons de nouveau dans ce chapitre le pouvoir le maître se tient dans la société. Ardo Diallobé a dit « Maitre…le pays fera ce que vous direz. » Et narrateur a dit « Le maitre eût pu dire oui, c’était facile et le pays eût explose de joie. Il lui eût été facile de dire non, et le pays eût obéi. Il ne disait rien. » Je le trouve perturbant parce que les gens vont lui suivre indépendamment de ce qu'il dit. En revanche, on voit la faiblesse du maitre ici aussi. Il va mourir bientôt je crois.

Nous sommes aussi présentés au personnage « le fou » dans ce chapitre. Il semble qu'il y ait une longue histoire entre lui et le maître. Il me rappelle d'un fou furieux dans son discours de pages cent à cent quatre. C’est difficile de suivre ce qu’-est ce qu’il a dit.

Saturday, October 11, 2008

Chapitre Sept

Ce chapitre me semble d’être le plus important jusqu'ici dans ce roman. Il traite avec la question éternelle de la science contre la religion. Nous voyons ces différences tout au début du chapitre. Paul Lacroix regarde le ciel « A l’horizon, il semblait que la terre aboutissait à un gouffre. Le soleil était suspendu, dangereusement, au-dessus de ce gouffre. » mais le chevalier est totalement indifférent « derrière sa table, le père de Samba Diallo était demeuré immobile comme indifférent au drame cosmique qui se perpétrait dehors. » Le crépuscule bouleverse Paul mais il ne touche pas du tout le chevalier.

La question débattue longuement « ce qui est la vérité » est aussi apparaît dans ce chapitre quand le chevalier a dit « ils sont tellement fascinés par le rendement de l’outil qu’ils en ont perdu l’immensité du chantier. Ils ne voient pas que la vérité qu’ils découvrent chaque jour est chaque jour plus étriquée. Un peu de vérité chaque jour…bien sur, il le faut, c’est nécessaire. Mais la Vérité ? Pour avoir ceci, faut-il renoncer à cela ? » C'est une référence à la subjectivité de science. Ce que l'on a considéré de « fait » il y a des années était continuellement réfuté dans les années suivantes et n'est plus le fait.

Thursday, October 9, 2008

Chapitre Six

Pour moi, la partie la plus mémorable de ce chapitre est la référence au cheval du maître, Tourbillon. Il était un magnifique pur-sang arabe et Samba lui conduirait. Le maître a dit « Ce cheval ne peut pas être un cheval de trait. Il a la tête trop haute, il est trop beau. On ne peut pas demander au pur-sang de tirer la charrue… » et je croit que c’est une métaphore de Samba. Comme le cheval, Samba est aussi un pur-sang et je pense que la référence á « tirer la charrue » était une référence à Samba prenant probablement la position du maître et l'avancement du peuple islam mais je ne suis pas sûr. C'est juste une pensée qui m'est venue.

Nous voyons de nouveau la croyance qu'ils ont dans l'islam, dans le maître ou il «… a un corps fragile qui déjà est très peu présent. Mais, de plus, il a la Parole qui n’est faite de rien mais qui dure. » et quand le chevalier se dit « Samba Diallo irait à l’école, si telle était la volonté de Dieu. » Ils ont la foi totale à Dieu.

Chapitre Cinq

J’aime bien l’introduction dans le cinquième chapitre. C'est la deuxième fois que Kane a fait une référence au monde métaphysique. « Le bouleversement de la vie des hommes à l’intérieur de cet ordre nouveau est semblable aux bouleversement de certaines lois physiques à l’intérieur d’un champ magnétique. » Je pense que c'est une référence "à l'image plus grande", comme on dit en anglais et le destin. « Seul un tel bouleversement et l’ordre naturel peut expliquer que, sans qu’ils le veuillent l’un et l’autre, l’homme nouveau et l’école nouvelle se rencontrent tout de même. Nous sommes simplement des gages sur cette terre.

J’étais un peu choquée quand j’ai vu que Kane a utilisé le mot « négrillon » parce que, comme je le comprends ce mot est offensif. Je l’ai trouvé dans le dictionnaire Oxford Hachette Français vers Anglais et cela signifie « piccanninny » et « little black Samba ».

La fin de ce chapitre démontre que Samba est vraiment un enfant extraordinaire. Au début, Jean ne lui parle pas mais sur la plage, il est dans la crainte de Samba. « Jean confirma, en rougissant, qu’ils ne s’étaient jamais parlé en effet. » « Sa voix retentit. Jean n’osa pas contourner son camarade pour observer son visage, mais il lui sembla que cette voix n’était plus la sienne. Il restait immobile. Rien ne vivait en lui, que cette voix qui parlait au crépuscule une langue que Jean ne comprenait pas. » « Jean ne sut pas combien de temps il demeura là, fasciné par Samba Diallo pleurant sous le ciel. »

....

Dans la deuxième moitié de chapitre quatre nous voyons de nouveau l'énorme influence de la Grande Royale a sur le peuple de Diallobé. Kane construit l'attente de son arrivée dans la scène quand il a dit « L’assistance causait tout bas, et cela faisait un grand murmure, semblable à la voix du vent. Soudain, le murmure décrut. Un des côtés du carré s’ouvrit et la Grande Royale pénétra dans l’arène. »

Il est clair qu'elle veut le mieux pour son peuple. Elle n'aime pas les écoles étrangères mais elle pense à son pays et ce qui est le meilleur. Cela montre ce qu'un leader elle est vraiment - la capacité de prendre des décisions difficiles et pour son peuple d’avoir confiance en elle pour la suivre. « Je viens vous dire ceci : moi, Grande Royale, je n’aime pas l’école étrangère. Je la déteste. Mon avis est qu’il faut y envoyer nos enfants cependant. »

Monday, October 6, 2008

Chaiptre Quatre

Comme je comprends qu'il, la Samba s'endort dans un cimetière dans ce chapitre. Il rêve de son ami mort la Vielle Rella mais j'échoue à voir qui elle est. Il se demande beaucoup de questions philosophiques profondes et il est clair qu'il est sage, loin au-delà de ses années. « Comment le souvenir de cet amour peut-il durer encore si l’amour lui - même a cessé complètement, définitivement ? Car le souvenir habite encore Coumba. »

Je plains Samba et sa position. Il est traité très durement par le maître et le chef. « Lorsque au bout d’une semaine la Grande Royale le relâchait, repu de gâteries, le chef des Diallobé et le maître redoublaient de sévérité, comme pour lui faire expier cette semaine de bonheur. » Samba est cependant un enfant très résistant. « Samba Diallo se laissait gâter avec apparemment la même profonde égalité d’âme que lorsqu’il subissait les mauvais traitements du foyer. »

Chapitre Trois

Au début de ce chapitre, nous voyons de nouveau l'abnégation du maître et le style de vie frugal. Je l'admire pour sa détermination et croyance, venant particulièrement d'une société où la religion et l'église deviennent moins et moins influents dans des vies des gens. « Cependant que la douleur le pliait, il avait peine à maintenir son sérieux, comme si le grotesque qu’il observait n’était pas le sien propre. » Il se met toujours en doute et sa vie et quand il commence à rire, il inquiète que ce soit impie ; « À ce moment, le maître qui avait levé les deux bras, face à l’Est, pour commencer sa prière s’interrompit, assombri soudain par un soupçon. Ce rire n’est-il pas impie ? »

Le troisième chapitre est la première fois où nous voyons la Grande Royale, le chef du Diallobé et le maître ensemble. Il me semble qu'ils sont les trois personnes les plus puissantes dans Diallobé mais pour des raisons différentes. Le chef a dit « Si je leur dis d’aller á l’école nouvelle, ils iront en masse. » Ca montre qu’il a le respect du peuple et ils l'écoutent très soigneusement. Le maître est le leader religieux du peuple et comme la Grande Royale a dit, « Mon frère est le cœur vivant de ce pays mais vous en étés la conscience. » À cause de cela, le chef compte sur le maître pour des conseils et il lui a demandé « Les hommes de plus en plus viennent à moi. Que dois-je leur dire ? » D'autre part, quoique le Grande Royale ne contrôle pas directement le peuple, elle a une influence énorme tant sur le maître que sur le chef et ainsi, est dans une position très puissante.

Dans ce chapitre nous voyons la première discussion réelle des écoles étrangères qui ont été mentionnées plus tôt dans le livre « L’école étrangère est la forme nouvelle de la guerre que nous font ceux qui sont venus, et il faut y envoyer notre élite, en attendant d’y pousser tout le pays. Il est bon qu’une fois encore l’élite précède. »

Monday, September 29, 2008

...

J'aime l'idée que les enfants des gens importants dans la société au temps ont dû vivre aux frais de l'aumône du peuple. S'ils devaient devenir des dirigeants, il serait très important qu'ils aient vu les vies réelles et les difficultés de leur peuple. Je pense que cela les rendrait mieux capables de mener leur peuple comme ils auraient communiqué avec eux et ont vécu leur vie quotidienne.

Franchement, j’ai marre de toute la répétition dans le livre et son utilisation de adverbes. Il les utilise trop.

Á mon avis, le plus frappant phrase dans le deuxième paragraphe est « Cet enfant parle de la mort en termes qui ne sont pas de son age ». Cela montre ce qu'un rôle important la Samba a et il suggère qu'il fasse bien des choses avec sa vie.

Sunday, September 28, 2008

... La Grande Royale

Dans le deuxième chapitre, on voit la première longue description de Kane dans le romain. Il décrit la Grande Royale qui est la sœur aînée du chef de Diallobé. J’ai l’impression qu’elle est très importante, forte et intelligente et elle a beaucoup d’influence sur le chef mais elle le sait. Elle a pacifié le Nord et « c’est le Nord qui l’avait surnommé la Grande Royale. » Elle a soixante ans mais elle « n’avait rien perdu de sa prestance malgré son age. »

Saturday, September 27, 2008

Chapitre Deux.

Le dialogue au début du deuxième chapitre me fait peur un peu parce qu’il me rappelle des attentats-suicide, surtout quand il a dit « Gens de Dieu, songez á votre mort prochaine…. Gens de Dieu, la mort n’est pas cette sournoise qu’on croit, qui vient quand on ne l’attend pas, qui se dissimule si bien que lorsqu’elle est venue plus personne n’est là. » Ils trouvent une certaine joie spirituelle dans la mort et ils n’ont pas peur de la mort. La vie est un voyage spirituel avant la mort. Pour moi, c’est vraiment difficile de le comprendre parce que c’est un monde totalement différent de ma vie ici en Irlande.

Friday, September 26, 2008

...

La croyance et la foi sont les caractéristiques plus frappantes de Samba dans le premier chapitre. Malgré toute la violence de son maître, Samba croyait vraiment en Islam. On peut le voir quand il a dit « …c’était une parole venue de Dieu, elle était un miracle, elle était telle que Dieu lui-même l’avait prononcée. Le maître avait raison. »

Le maître me rappelle de gens qui sont extrêmement religieuses partout le monde. Il a une vie très stricte. Il travaille dur et il n’a aucune chose de luxe dans sa vie. « Deux occupations remplissaient sa vie : les travaux de l’esprit et les travaux des champs le strict minimum de son temps et ne demandait pas á la terre plus qu’il ne faut pour sa nourriture, extrêmement frugale, et celle de sa famille, sans les disciples. » Dans un monde qui devient de plus en plus capitaliste, c’est difficile pour moi de comprendre pourquoi il veut une vie comme cela.

Tuesday, September 16, 2008

Chaiptre Premier

Tout au début du livre, L’Aventure ambiguë, c’est clair que on verra beaucoup de violence partout le livre. Le premier phrase l’indique ou l’auteur dit « Ce jour - là, Thierno l’avait encore battu. » En Irlande, depuis les années soixante-dix je crois, le châtiment était illégal dans les écoles donc pour moi, il est très inquiétant de voir tel violence contre les enfants. Samba avait seulement mal prononcée la phrase du saint verset et puis, son maître Thierno l’a battu. « L’oreille, déjà blanche de cicatrices a peine guéries, saignait de nouveau. » montre que le châtiment était inutilement sévère. Malgré toute la violence contre l’enfant, j’étais choqué par l’auteur quand il a dit « Le maître était un homme redoutable a beaucoup d’égards. »
Je pense que ce livre sera un choc culturel pour moi et j’attends avec impatience continuer lire le livre.